Sur la table, des figurines et des cartes sont assemblées. L'ordre du jour était la potentielle attaque surprise de soldats venus de Caldissia pour remettre Camélia sur le trône qui a été fusionné. Mais ça n'inquiète pas vraiment l'Enodril, qui a monté avec Faust un plan pour la forme : après tout, ils ont bien assez dans leur armée actuelle pour ne pas avoir à se préoccuper de ce genre de problème. Quand on voit les améliorations qui ont commencé à être faites pour le nouveau royaume uni, de moins en moins de détracteurs se sont prononcés, comme s'ils commençaient lentement mais sûrement à changer d'avis. Même s'ils n'ont plus le même rapport hiérarchique, le Donovan demeure l'un des rares confidents du jeune dirigeant. L'animorphe lupin l'a soutenu depuis le début de son projet et même avant au terme d'entraînements rigoureux qui ont permis au rouquin de se renforcer et de devenir bien plus fort au combat. Son mentor fut stricte mais il fallut bien ça pour transformer le looser en machine à tuer.
« Tu vois, pour l'instant, ça ne se passe pas si mal. »
Il s'étire avant de reprendre une gorgée de sa choppe alors que son regard se balade sur les fenêtres de la salle de réunion. Il n'y a qu'avec Faust qu'il peut se détendre ainsi et parler de tout et de rien alors que ses autres conseillers sont beaucoup trop rigides et soumis. Mais depuis quelques temps, ils ont tous remarqué que le roi avait une bonne mine et qu'il était plus joyeux qu'avant. Pas qu'il manquait d'enthousiasme, mais il y a un rayonnement qui s'en dégage depuis quelques jours, comme si un événement s'était produit. Rien de bien extraordinaire, pourtant. Juste des allers et venus plus fréquents dans les quartiers d'un certain magimorph ; tant et si bien que quiconque avec un odorat développé sentirait aisément l'odeur très fort de l'Eossien sur le militaire.
« Tu vois, pour l'instant, ça ne se passe pas si mal. »
Il s'étire avant de reprendre une gorgée de sa choppe alors que son regard se balade sur les fenêtres de la salle de réunion. Il n'y a qu'avec Faust qu'il peut se détendre ainsi et parler de tout et de rien alors que ses autres conseillers sont beaucoup trop rigides et soumis. Mais depuis quelques temps, ils ont tous remarqué que le roi avait une bonne mine et qu'il était plus joyeux qu'avant. Pas qu'il manquait d'enthousiasme, mais il y a un rayonnement qui s'en dégage depuis quelques jours, comme si un événement s'était produit. Rien de bien extraordinaire, pourtant. Juste des allers et venus plus fréquents dans les quartiers d'un certain magimorph ; tant et si bien que quiconque avec un odorat développé sentirait aisément l'odeur très fort de l'Eossien sur le militaire.