Royaume désertique, sec et humide, Caldissia n'avait jamais donné envie à Samaël d'y vivre. La curiosité l'avait sans douté poussé toutefois à désirer la visiter dès lorsque l'occasion se serait présentée à lui. C'est une envie qu'il avait eu dès lors que la paix fut signée, renouvelée après qu'il se soit emparé du pouvoir. Plus rien ne l'empêche désormais d'aller et venir quand bon lui semble dans ce pays d'où est originaire sa mère. Cette dernière, malgré la guerre, lui avait toujours parlé avec bienveillance de cette terre natale qui lui manquait tant. Son rêve de conquête, il avait été aussi pour elle.
Changement radical de garde-robe quand ils s'en viennent dans la région, mais c'est moins désagréable qu'il ne le pensait. Les Caldissiens sont obligés de les adorer et de les respecter quand ils pénètrent dans la cité. Voyage diplomatique aussi bien que de noces, l'Enodril souhaite faire d'une pierre d'un coup et renforcer les liens avec Caldissia. Il dit à tout le monde qu'il est un enfant bâtard, après tout : une fierté qu'il révèle au grand jour plus que jamais. Après une parade dans les rues et une grande fête en l'honneur des souverains, il est temps pour eux de visiter un peu les environs.
« Voici, Majestés, nos plus beaux chevaux. Ils sont dociles et aussi rapides que le vent. »
Dans l'écurie royale qui appartenait à Hincmar puis Camélia, les deux amants sont guidés à travers les boxes des différents équidés.
« Celui-ci fut le préféré d'Hincmar. »
Le palefrenier sort un étalon noir qui ne surprend nullement le rouquin. Evidemment, le cheval du roi ne pouvait être que le plus élégant de tous. Il sourit d'ailleurs au destrier avant de lui caresser lentement l'encolure, avant de se tourner vers son amant.
« Tu t'y connais, en équitation ? Ou tu veux qu'on monte à deux sur le même cheval ? »
Il avait prévu de faire une balade sur les plages Caldissiennes pour les visiter, mais si le hérissé a du mal sur les chevaux, ça allait être compliqué de l'embarquer seul sur un poney.
Changement radical de garde-robe quand ils s'en viennent dans la région, mais c'est moins désagréable qu'il ne le pensait. Les Caldissiens sont obligés de les adorer et de les respecter quand ils pénètrent dans la cité. Voyage diplomatique aussi bien que de noces, l'Enodril souhaite faire d'une pierre d'un coup et renforcer les liens avec Caldissia. Il dit à tout le monde qu'il est un enfant bâtard, après tout : une fierté qu'il révèle au grand jour plus que jamais. Après une parade dans les rues et une grande fête en l'honneur des souverains, il est temps pour eux de visiter un peu les environs.
« Voici, Majestés, nos plus beaux chevaux. Ils sont dociles et aussi rapides que le vent. »
Dans l'écurie royale qui appartenait à Hincmar puis Camélia, les deux amants sont guidés à travers les boxes des différents équidés.
« Celui-ci fut le préféré d'Hincmar. »
Le palefrenier sort un étalon noir qui ne surprend nullement le rouquin. Evidemment, le cheval du roi ne pouvait être que le plus élégant de tous. Il sourit d'ailleurs au destrier avant de lui caresser lentement l'encolure, avant de se tourner vers son amant.
« Tu t'y connais, en équitation ? Ou tu veux qu'on monte à deux sur le même cheval ? »
Il avait prévu de faire une balade sur les plages Caldissiennes pour les visiter, mais si le hérissé a du mal sur les chevaux, ça allait être compliqué de l'embarquer seul sur un poney.